Flic ou Zombie voir ce film regarder en ligne avec sous-titres anglais 4K

Flic ou Zombie (Prix d'Interprétation Paris 1988)

Judex. PrĂ©sentĂ© avec succès au Festival de Paris en 1988 - avec Ă  sa clĂ© un double prix d’interprĂ©tation pour Joe Piscopo (Mafia salad ) et Treat Williams (Le Prince de New-York . Deux cent mille dollars en cavale ) - Flic ou Zombie a tout d’un cross-over improbable entre deux genres ultra codĂ©s et calibrĂ©s, Ă  savoir le film d’action bourrin saucĂ© Ă  la buddy movie (style L’Arme fatale ou Double dĂ©tente ) et le film de morts-vivants bien dĂ©gueulbif (très tendance depuis le carton de Re-Animator ). Flic ou Zombie apparaĂ®t encore aujourd’hui comme une pure sĂ©rie B d’exploitation dĂ©complexĂ©e, telle qu’on en voyait des tonnes ces annĂ©es-lĂ  et qui n’avait pas peur de mettre en place des idĂ©es de scĂ©nar’ totalement barrĂ©. En l’occurrence, ici, un script de Terry Black (frère de Shane Black ) qui, en reprenant l’intrigue jouissive du classique de Rudolph MatĂ© (D.O.A ), exploite rĂ©ellement toutes les ressources de son schĂ©ma en poussant systĂ©matiquement les sĂ©quences dans leurs derniers retranchements Ă  savoir vers l’outrance et l’humour noir (la cĂ©lèbre scène de la boucherie, le face Ă  face final). Ces passages doivent leur rĂ©ussite en grande partie aux effets spĂ©ciaux de maquillage, signĂ©s Steve Johnson. Si Flic ou Zombie conserve donc ce capital de sympathie, c’est avant tout grâce Ă  ce traitement et certainement pas Ă  la rĂ©alisation plate et tĂ©lĂ©filmesque de Mark Goldblatt ni Ă  l’humour balourd des deux policiers. Son statut de film culte est donc objectivement tout relatif et il faut avoir conscience de ses dĂ©fauts de fabrication afin d’apprĂ©cier ce spectacle du samedi soir. 3/5
En savoir plus sur http://www.paperblog.fr/5925575/critique-du-film-flic-ou-zombie-de-mark-goldblatt-dead-heat-1988/#dIkMAfEb14ErxPp6.99

Judex. PrĂ©sentĂ© avec succès au Festival de Paris en 1988 - avec Ă  sa clĂ© un double prix d’interprĂ©tation pour Joe Piscopo (Mafia salad ) et Treat Williams (Le Prince de New-York . Deux cent mille dollars en cavale ) - Flic ou Zombie a tout d’un cross-over improbable entre deux genres ultra codĂ©s et calibrĂ©s, Ă  savoir le film d’action bourrin saucĂ© Ă  la buddy movie (style L’Arme fatale ou Double dĂ©tente ) et le film de morts-vivants bien dĂ©gueulbif (très tendance depuis le carton de Re-Animator ). Flic ou Zombie apparaĂ®t encore aujourd’hui comme une pure sĂ©rie B d’exploitation dĂ©complexĂ©e, telle qu’on en voyait des tonnes ces annĂ©es-lĂ  et qui n’avait pas peur de mettre en place des idĂ©es de scĂ©nar’ totalement barrĂ©. En l’occurrence, ici, un script de Terry Black (frère de Shane Black ) qui, en reprenant l’intrigue jouissive du classique de Rudolph MatĂ© (D.O.A ), exploite rĂ©ellement toutes les ressources de son schĂ©ma en poussant systĂ©matiquement les sĂ©quences dans leurs derniers retranchements Ă  savoir vers l’outrance et l’humour noir (la cĂ©lèbre scène de la boucherie, le face Ă  face final). Ces passages doivent leur rĂ©ussite en grande partie aux effets spĂ©ciaux de maquillage, signĂ©s Steve Johnson. Si Flic ou Zombie conserve donc ce capital de sympathie, c’est avant tout grâce Ă  ce traitement et certainement pas Ă  la rĂ©alisation plate et tĂ©lĂ©filmesque de Mark Goldblatt ni Ă  l’humour balourd des deux policiers. Son statut de film culte est donc objectivement tout relatif et il faut avoir conscience de ses dĂ©fauts de fabrication afin d’apprĂ©cier ce spectacle du samedi soir. 3/5
En savoir plus sur http://www.paperblog.fr/5925575/critique-du-film-flic-ou-zombie-de-mark-goldblatt-dead-heat-1988/#dIkMAfEb14ErxPp6.99

Flic ou Zombie / DEAD HEAT

Dimanche, le 26 avril 2014

Film Fantastique. USA. Réalisé par Mark Goldblatt, avec Joe Piscopo et Treat Williams. Prix d'interprétation Masculine Paris 1988.

Synopsis. A Los Angeles. des braquages en série sont commis par des bandits qui semblent invincibles. Mortis et Bigelow, deux détectives en charge de l'affaire découvrent que l'un des braqueurs qu'ils ont réussi à abattre était déjà mort depuis une semaine. Après une enquête dans les tripots de la ville, ils découvrent une machine qui fait revivre les morts pendant une période de douze heures. Pendant l'enquête, Mortis est piégé dans un caisson. Mais contre attente.

PrĂ©sentĂ© avec succès au Festival de Paris en 1988 - avec Ă  sa clĂ© un double prix d’interprĂ©tation pour Joe Piscopo (Mafia salad ) et Treat Williams (Le Prince de New-York . Deux cent mille dollars en cavale ) - Flic ou Zombie a tout d’un cross-over improbable entre deux genres ultra codĂ©s et calibrĂ©s, Ă  savoir le film d’action bourrin saucĂ© Ă  la buddy movie (style L’Arme fatale ou Double dĂ©tente ) et le film de morts-vivants bien dĂ©gueulbif (très tendance depuis le carton de Re-Animator ).

Flic ou Zombie apparaĂ®t encore aujourd’hui comme une pure sĂ©rie B d’exploitation dĂ©complexĂ©e, telle qu’on en voyait des tonnes ces annĂ©es-lĂ  et qui n’avait pas peur de mettre en place des idĂ©es de scĂ©nar’ totalement barrĂ©. En l’occurrence, ici, un script de Terry Black (frère de Shane Black ) qui, en reprenant l’intrigue jouissive du classique de Rudolph MatĂ© (D.O.A ), exploite rĂ©ellement toutes les ressources de son schĂ©ma en poussant systĂ©matiquement les sĂ©quences dans leurs derniers retranchements Ă  savoir vers l’outrance et l’humour noir (la cĂ©lèbre scène de la boucherie, le face Ă  face final).

Ces passages doivent leur rĂ©ussite en grande partie aux effets spĂ©ciaux de maquillage, signĂ©s Steve Johnson. Si Flic ou Zombie conserve donc ce capital de sympathie, c’est avant tout grâce Ă  ce traitement et certainement pas Ă  la rĂ©alisation plate et tĂ©lĂ©filmesque de Mark Goldblatt (plus apprĂ©ciĂ© par ses talents de monteurs) ni Ă  l’humour balourd des deux policiers. Son statut de film culte est donc objectivement tout relatif et il faut avoir conscience de ses dĂ©fauts de fabrication afin d’apprĂ©cier ce spectacle du samedi soir. Et puis, impossible de noter la dĂ©licieuse performance de Vincent Price qui donne au mĂ©trage une patine savoureuse et touchante Ă  l'image de cette sĂ©quence final oĂą nos deux hĂ©ros quittent dĂ©finitivement le monde des vivants. JMM. 4/6